Remerciements à Charles Bowe dans Julia & Gus, Julia Lecour Bowe’s Mémoires

Remerciements

Je suis redevable à de nombreuses personnes, sans lesquelles il aurait été impossible de raconter cette histoire. Sans aucun doute, Julia Bowe en est la génitrice essentielle. Julia a écrit ces mémoires sur sa propre machine à écrire, mettant ses souvenirs et son cœur sur papier. Se souvenir avec précision de l’ampleur des détails, tels que les noms, les dates et les événements, a fait de ses mémoires une vaste entreprise. En 1959, Julia a achevé son histoire généalogique élaborée, The Generations, retraçant l’histoire de sa famille sur sept siècles. Les notes de bas de page de ses mémoires sont plus complètes grâce à ce travail.

Je tiens également à remercier tout particulièrement ma tante Mary, Mary Gwinn Bowe, pour son livre The Families. Cette généalogie exhaustive a rassemblé des notes et des souvenirs relatifs à Gus et Julia dans un dossier familial cohérent et fluide. Par conséquent, The Families est également la source de nombreuses notes de bas de page dans les mémoires de Julia. La nièce de Mary, Olivia Riboud, a eu la gentillesse de relire les mémoires de Julia pour s’assurer que l’usage du français était correct.

Il faut également rendre hommage à ma mère, Katherine Pargellis Bowe, qui a conservé le manuscrit pendant plus de 30 ans. En cours de route, le document l’a accompagnée de Winnetka à Boston et vice-versa. Lorsque maman m’a donné la pile de feuilles dactylographiées avec d’autres souvenirs de famille, elle a déclaré d’un ton nonchalant : « J’ai pensé que cela pourrait t’intéresser ». Elle a toujours su l’importance des mémoires de Julia et le trésor qu’elles pouvaient représenter pour tous.

L’oncle Bill m’est venu immédiatement à l’esprit lorsque j’ai lu le manuscrit pour la première fois et que j’ai décidé de l’imprimer. Bill Bowe a dû faire appel à ses connaissances de première main et à son amour de la tradition familiale pour mener à bien cette tâche. Cette présentation représente plusieurs années de travail acharné pour archiver une vaste collection de photos et de documents familiaux numériques.

La Newberry Library et la Poetry Foundation méritent également d’être remerciées pour l’organisation et la préservation du fonds Augustine J. Bowe. De même, la bibliothèque de l’université de l’Illinois à Chicago a fait un excellent travail de sauvegarde et de présentation des documents de Mary Gwinn Bowe. Les index de ces collections se trouvent dans les notes de recherche à la fin de ces mémoires.

Enfin, nous pouvons remercier Claes Oldenburg pour le dessin à la plume et à l’encre de Gus Bowe qui figure au dos de la couverture. Bien que né à Stockholm, en Suède, le père de Claes s’est installé à Chicago en 1936 pour devenir consul général de Suède. Claes est devenu un ami de la famille après avoir été le camarade de classe de mon père. Il a surpris Gus en train de se détendre chez sa fille Julie Ann à Warrenville, dans l’Illinois. Le dessin figure également en frontispice du recueil de poèmes de Gus, No Gods are False.

Charles Augustine Bowe

Chicago, Illinois

1er mai 2011